Ezra Beau Kendrick Ft. Daniel Sharman ÂGE: 21 ans MAISON: Serdaigle ETUDE: Médecine EPOUVANTARD: ici GROUPE: rose obscur

nom ▽ Kendrick. a l'époque où Voldemort régnait encore sur ce monde, Les Kendrick était une famille noble et respectée. C'était l'une des plus grandes familles de mangemorts. Aujourd'hui, ce nom est roulé dans la boue, piétiné, sali...   prénom ▽ Ezra Beau. Ezra est le prénom de son grand-père paternel. Son père l'adorait et l'admirait et, étant la prunelle de ses yeux, il lui paraissait normal que son fils ait ce prénom. Le deuxième prénom a été choisi par sa mère. Beau est un prénom superficiel. Le jeune homme ne l'aime pas beaucoup. Il adore sa mère, mais il ne comprend pas comment elle a pu choisir ce prénom. âge ▽ 21 ans. nature du sang ▽ pur. Ses ancêtres se sont assurés qu'aucun moldu ou sang impur ne fasse parti des Kendrick. La plupart des mariages était arrangé, sans amour mais avec les mêmes idéaux.     nationalité ▽ français. Cette famille n'a jamais quitté le pays. Ils sont fiers de leur origine. Mais avec cette histoire, Ezra a voulu changé d'air et de cette manière, ça lui permettait de conquérir un nouveau pays : l'Angleterre. domaine d’étude ▽ la médecine magique. Depuis petit, il voue une passion pour le monde médical. Comment lui est venue cette passion ? Il n'en a aucune idée. Tout ce qu'il sait c'est qu'il a toujours été curieux de comprendre le corps humain. année ▽ deuxième année. un petit tic par ici ∞ une grosse manie par là ∞ ton caractère en une phrase ∞ explique ta qualité ∞ raconte nous un défaut ∞ décris ton mode de pensée ∞ un petit tic par ici ∞ une grosse manie par là ∞ ton caractère en une phrase ∞ explique ta qualité ∞ raconte nous un défaut ∞ décris ton mode de pensée ∞ un petit tic par ici ∞ une grosse manie par là ∞ ton caractère en une phrase ∞ explique ta qualité ∞ raconte nous un défaut ∞ décris ton mode de pensée ∞ un petit tic par ici ∞ une grosse manie par là ∞ ton caractère en une phrase ∞ explique ta qualité ∞ raconte nous un défaut ∞ décris ton mode de pensée ∞etc à organiser à ta sauce soeur : Aloïs Reine Bonjour, moi c'est Juyniie, j'ai environ 22 ans et je le vis bien. Je suis arrivée sur Eternal Dissendium parce que je suis là depuis le début et je vous aime tous très fort.

L'enfant tant désiré

Le soleil venait tout juste d'émerger : le petit matin, le renouveau. La faune émergeait elle aussi petit à petit. Les oiseaux se perchaient sur les plus hautes branches pour pouvoir chanter. La journée semblait calme, paisible. Il n'y avait aucun nuages à l'horizon, mais une femme criait. Elle criait de toutes ses forces. Elle avait mal, tellement mal. Ces entrailles se déchiraient. Ses enfants lui déchiraient les entrailles, ses tous premiers. Son mari n'était pas là. Personne n'était pas là pour lui tenir la main. Pourtant c'était bien son mari qui désirait un enfant, un fils plus exactement. Elle était encore jeune, bien trop jeune pour avoir un enfant. Mais alors deux ? Pour son mari, elle avait accepté. Il était l'amour de sa vie, elle pouvait bien lui offrir ceci. Mais en cet instant précis, intérieurement, elle maudissait son mari. Elle le maudissait au plus haut point d'avoir réussit à la convaincre, la convaincre de subit cet instant de douleur. Elle criait encore et encore. Elle se tenait aux accoudoirs du lit. Les jointures de ses mains étaient blanches. La douleur était transperçante. Elle aimait ses enfants, mais pourquoi fallait-il subir cette douleur ? Un bébé arrive. La jeune femme avait envie de rire devant l'absurdité de cette infirmière. Elle se retint. Même dans la douleur, elle devait faire bonne figure. Elle n'avait pas le droit de se relacher. Elle faisait partie d'une grande et respectable famille maintenant. Dans un dernier cri, le premier enfant arriva : un garçon selon l'infirmière. La jeune femme, soulagée, lâcha sa tête contre son oreiller. Un garçon. C'était le plus grand souhait de son mari. Il allait être tellement heureux, tellement fier. Elle n'eu pas vraiment le temps de se remettre de ses émotions que le deuxième enfant arrivait. Elle se redressa et son abdomen se contracta. Elle rejeta sa tête en arrière tout en lâchant un cri qui résonna dans la pièce. Au même moment la porte s'ouvrit. Le vent s'engouffra, figeant la sueur qui perlait dans le cou de la jeune femme. Elle reprit sa respiration tout en levant les yeux vers la silhouette qui s'approchait d'elle d'un pas assuré. Le visage de son mari se dessina devant elle. Il avait un air grave. Il prit sa main dans ses paumes. Elle lui broya les os. Dans un dernier cri, elle poussa. Un nouveau cri envahit la chambre. C'est une fille. Monsieur Kendrick fronça un sourcil. Il ne savait pas quel était le sexe de l'autre enfant. Il déposa la main de sa femme. Il l'embrassa sur le front pendant que le jeune femme reprenait son souffle. L'infirmière posa la nouveau-née sur la poitrine de la nouvelle maman. Le jeune homme quand à lui s'approcha du premier enfant. Le nourrisson gigotait alors que la deuxième infirmière l’emmaillotait dans une couverture. Elle lui indiqua qu'il avait un beau et sain garçon. Il ne laissa rien transparaître. Il s'approcha plus du nouveau-né tout en poussant l'infirmière. Il regarda cet enfant, son fils. Il posa sa main sur le ventre du garçon afin de calmer son agitation. Bienvenue dans ce monde Ezra. Il eu un petit sourire en coin avec des yeux pleins de fierté. Le nourrisson agita ses petits bras. Le nouveau père prit son fils dans ses bras pour l'amener vers sa mère. Il s’essaya sur le lit près de sa femme. Après avoir été rassuré par la présence de son fils, il regarda enfin sa fille. Elle était d'une beauté.  Ezra Beau et Aloïs Reine Kendrick, vous allez accomplir des merveilles dans ce monde. .  



Tu étais assis sur les marches qui menaient au jardin du manoir. Ta tête était posé sur tes genoux. Ta soeur jouait à la poupée à l'ombre d'un peuplier. Ton regardas alla d'un bout à l'autre du jardin à la recherche d'une activité. Tu n'étais pas très inspiré aujourd'hui. Ton père n'étais pas présent aujourd'hui et pourtant tu aurais aimé à manipuler la magie aujourd'hui. Depuis quelques mois, ton père t’entraînait à cette pratique afin que tu excelles par la suite. Ton attention fut détourner par l'arrivée de l'elfe de maison. Tu l'observa du coin de l'oeil tandis qu'il s'arrêta à ton niveau en baissant la tête. Il portait un vieux draps crasseux. Tu avais posé la question à père quand tu étais plus jeune pour savoir pourquoi il ne changeait pas de "vêtement" et tu compris alors vraiment le rôle de cet elfe. Il ne pouvait se changer à moins que père ou quelqu'un de la famille ne lui fournisse un habit mais cela signifiait qu'il était libre. Cet elfe était présent dans la famille depuis des dizaines d'années afin de vous servir au mieux. Malgré sa loyauté sans faille à ta famille, il ne manquait pas de faire des erreurs qui ne manquaient pas de déplaire à ton père. Il se mettait alors à torturer l'elfe et cela devant toi. De cette façon il voulait t'apprendre que pour obtenir ce que tu voulais ou pour te faire respecter, il fallait agir et ne pas se laisser faire. C'est ainsi que petit à petit, il ancrait dans ta petite tête la violence. Tu te tournas vers l'elfe, lui attendait que tu daignes lui adresser la parole avant de parler. Tu veux quelque chose Hooky ? La tête surdimensionnée de l'elfe se redressa vers le jeune garçon. Monsieur Ezra, c'est Monsieur votre père qui m'a donné ce livre pour vous. Il souhaite que vous lisiez le plus de page possible avant son retour. Tu tendis la main vers l'elfe afin qu'il te donne le livre. Hooky claqua des doigts et le livre apparu entre ses mains cornues. Il le tendit à son petit maitre tout en baissant la tête en signe de respect. Tu pouvais voir, au niveau de ces bras, qu'il y avait de nouvelles marques de torture. Tu congédias l'elfe de maison. Tu observas la couverture du livre. Tu étais un enfant qui étais toujours friand d'en apprendre plus sur n'importe quel sujet. Il lisait tous les livres que son père lui donnait. Aujourd'hui il s'agissait d' " Histoire de la magie". Il l'ouvrit et s'absorba dans la première page. Les minutes et les heures défilèrent sans que tu ne t'en rendes compte. La journée était donc bien avancée quand tu relevas le nez de ton livre. Tu le fermas et le déposas sur les marches où tu t'étais installé. Tu descendis les quelques marches qui te séparaient du jardin. Tu allas jusqu'au peuplier où ta soeur jumelle joue toujours. Aloïs, tu viens faire un tour avec moi ? Tu étais beaucoup plus mature que ta soeur jumelle. Ton père t'avait en quelque sorte volé ton enfance en te formant très jeune à devenir le meilleur futur mangemort. Ton père avait aussi beaucoup d'attente envers Aloïs mais pas les mêmes. Tu commenças à marcher. Aloïs courra derrière toi et te rattrapa. Elle sautilla à côté de toi, sa poupée toujours à la main. Vous étiez rentrés dans le petit bois familial tout en suivant l'un des chemins. Aloïs cueilli quelques fleurs sauvages. Pour votre mètre t'avait-elle dit. Tu étais sûr que ça allait lui faire plaisir. Tous les deux vous étiez proches de votre mère. Elle aurait très bien pu vous laisser à la première bonne venue comme le faisait la plupart des gens de la haute, mais elle, elle ne l'avait pas voulu. Vous étiez ces enfantes et elle se devait de vous élever de la meilleure façon qui soit; Elle l'avait fait. Ce n'était peut être pas la meilleure mère du monde, mais elle était aimante et attentionnée que se soit envers ses enfants ou son mari. 

Tu seras ma fierté, mon fils